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De dimanche en dimanche / Denise Bonal
Titre : De dimanche en dimanche Type de document : texte imprimé Auteurs : Denise Bonal, Auteur Editeur : Paris : Éd. théâtrales Année de publication : 2005 Collection : Répertoire contemporain Importance : 1 vol. (46 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-84260-188-2 Prix : 10 € Index. décimale : 842.914oeuvre Résumé : Elle et lui sont jeunes. Parents immatures, ils ont confié leur fille de trois ans à la meilleure amie d’Elle, à la suite d’une maladie contagieuse contractée par l’aînée. L’amie a épousé un homme riche. Voilà neuf mois que chaque dimanche les parents tentent de récupérer leur fille et reviennent bredouilles. La pièce se déroule sur un temps indéterminé. De bégayements en gêne, de gêne en désastres, l’impossibilité de reprendre leur fille devient irréversible. L‘angoisse monte de plus en plus au fil de ces brèves séquences qui tournent obsessionnellement autour de la question parentale. L’écriture, serrée, mesurée, produit une distance comique qui creuse encore l’amoralité de cette fable cruelle qui échappe aux canons du genre. Débarrassée de tout attendu, la fiction, qui plonge ses racines dans les vieux contes, les histoire d’enfants vendus, abandonnés, y va gaiement. La parole et ce qu’elle contient, sa tenue verbale, ses séismes minuscules font basculer la pièce là où on ne l’attend pas. Ça pourrait finir mal, ça finit bien. Mais ça pourrait recommencer... Distribution : 1H1F (3P), une petite fille, une voix off Réservation
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Code-barres Cote Support Section Localisation Disponibilité 00939 BON DE DE livre Textes Théâtrothèque Sorti jusqu'au 02/04/2025 Dix pièces courtes; sucre d'orge; les rats; clairs-obscure; acrobates; stand de tir; la marelle; le soixante-quinzième; didascalies; le champion de basket à la retraite; la course du premier mai / Israël Horovitz
Titre : Dix pièces courtes; sucre d'orge; les rats; clairs-obscure; acrobates; stand de tir; la marelle; le soixante-quinzième; didascalies; le champion de basket à la retraite; la course du premier mai Type de document : texte imprimé Auteurs : Israël Horovitz (1939-....), Auteur Mention d'édition : 3e éd. revue et corrigée Editeur : Paris : Éd. théâtrales Année de publication : impr. 2007 Collection : Répertoire contemporain Importance : 1 vol. (283 p.) Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84260-249-9 Prix : 22,50 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : 812.54 oeuvre Distribution : sucre d'orge: 1H1F (2P)
les rats: 3H (3P)
clairs-obscur: 3H2F (5P)
acrobate: 1H1F (2P)
stand de tir: 2H1F (3P)
la marelle: 1H1F (2P)
le soixante-quinzième: 1H1F (2P)
didascalies: 1H2F (3P)
le champion de basket à la retraite: 2H (2P)
la course du premier mai: 3H3F (6P)Réservation
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Code-barres Cote Support Section Localisation Disponibilité 05978 HOR IS DI livre Textes Théâtrothèque Disponible Enfants de la middle class / Sylvain Levey
Titre : Enfants de la middle class : Ô ciel, la procréation est plus aisée que l'éducation; Juliette : suite et fin trop précoce; Journal de la middle class occidentale Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvain Levey (1973-...), Auteur Editeur : Paris : Éd. théâtrales Année de publication : 2005 Collection : Répertoire contemporain Importance : 60 p Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-84260-171-8 Prix : 10 € Catégories : monologue(s) féminin(s)
Texte(s) court(s)Index. décimale : 842.92oeuvre Résumé : "Ô ciel, la procréation est plus aisée que l'éducation": Aujourd'hui, c'est une journée particulière. P'tite Piette souffle ses dix bougies. Elle voulait des rollerblades mais Papa Piette et Belle Maman Muchet n'ont rien compris. Papa et Tonton ont bu quelques bières. Belle Maman Muchet a apporté un gros carton. Un kit de la bonne ménagère attendait au fond. Les hommes ont vidé la bouteille, les femmes en ont ouvert une autre. Le vin a tourné au vinaigre quand P'tite Piette a refusé les cadeaux.
L'auteur nous offre ici un texte à la fois savoureux et cruel. Le rythme est très rapide, les répliques courtes, calculées. Il n'y a rien de trop. Ce portrait de famille dessiné de façon précise, teinté d'humour et d'ironie, va droit au but.Distribution : "Ô ciel, la procréation est plus aisée que l'éducation": 2H2F (9P), cinq enfants; "Juliette : suite et fin trop précoce": 2H1F (3P), six voix; "Journal de la middle class occidentale": 1F (1P) Réservation
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Code-barres Cote Support Section Localisation Disponibilité 00940 LEV SY EN livre Textes Théâtrothèque Exclu du prêt 07572 LEV SY EN livre Textes Théâtrothèque Sorti jusqu'au 22/02/2025 Histoire de Roberta / Philippe Minyana
Titre : Histoire de Roberta : Ca va: Le pavillon (prologue); Le champ (un été à Ornans); Le local; La route; Le café (café) Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Minyana, Auteur Editeur : Paris : Éd. théâtrales Année de publication : 2006 Collection : Répertoire contemporain Importance : 138 p Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84260-225-3 Prix : 16 € Note générale : ouvrage édité avec le soutien du CNL Langues : Français (fre) Résumé : "Histoire de Roberta" : Roberta cherche sa place dans le monde dans sa relation avec les autres : amies, figures maternelles, hommes du dehors qui pénètrent sporadiquement son espace (appartement et corps). "Quand je fais un pas, j’ai l’impression de laisser mon corps derrière moi" dit-elle, citant Handke. Elle interroge des vieillards et, au-delà de la mort, Ingmar Bergman et es Fraises sauvages. Instable et inquiète, la pièce nous met comme en déséquilibre tout en tentant, avec des emprunts au roman, au cinéma, la quête d’une transcendance joyeuse.
"Ca va" : Au gré des facéties d’une famille, des fictions se trament dans des espaces déterminés : on se console dans la cuisine, on invective dans le champ, on se donne rendez-vous dans la clairière, on cohabite dans le local syndical, on repose à la morgue. Les lieux, intimes ou collectifs, balisent la "pièce" : repères familiers, ils permettent aux personnages d’exposer leurs chagrins, leurs espoirs, leurs drames. L’auteur observe l’humain à la loupe, disséquant ses travers, ses faiblesses, dressant des histoires d’existence.Distribution : Histoire de Roberta: 11H9F (20P), peut être joué par (10P); Ca va: Le pavillon (prologue): 4H4F (8P); Le champ (un été à Ornans): 4H3F (7P); Le local : 2H4F (6P); La route : (10P); Le café (final): (12P) Réservation
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Code-barres Cote Support Section Localisation Disponibilité 03787 MIN PH HI livre Textes Théâtrothèque Disponible Pièces courtes 2 / Daniel Keene
Titre : Pièces courtes 2 : La terre, leur demeure; Nuit, un mur, deux hommes; Garçon sans visage; Entre aujourd'hui et demain; Brève obscurité; Vespérale; Avis aux intéressés; Marie & Marguerite; Le premier train; Ce qui demeure; Fleuve; Cat; Croquemitaine; Le souffle de K Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Keene (1955-...), Auteur ; Séverine Magois, Traducteur Editeur : Paris : Éd. théâtrales Année de publication : 2006 Collection : Répertoire contemporain Importance : 231 p Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84260-200-0 Prix : 19€ Note générale : Réunit : 14 pièces courtes Suivi de questions à Daniel Keene sur son théâtre Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Distribution féminine
monologue(s) féminin(s)
Texte(s) court(s)Résumé : "La terre, leur demeure" : Une campagne où la terre et ses habitants se meurent. Des familles de fermiers y sont nées, l'ont retournée, cultivée, aimée. Y périront-elles ? La campagne est envahie peu à peu par des promoteurs venus prendre des mesures et racheter la terre à vil prix pour construire. Le monde avance, avec son lot de modernité. La terre ne rend plus. Le fils annonce son départ. Il ira voir plus loin, sans savoir encore où, mais ailleurs, se construire un avenir, bâtir une autre vie. Trahit-il son héritage ? Abandonne-t-il ses parents ? Que peut-il espérer ? Est-il encore temps ? Un monde rural en proie aux réalités économiques et sociales d'aujourd'hui. Son âpreté, sa détresse, la violence retenue de ses familles, le tout rendu par une écriture économe et des dialogues tendus.
"Garçon sans visage" : Un jeune homme d’environ seize ans, assis sur un lit, le visage dissimulé dans une couverture bleue. Dans un langage chaotique, évocation d’images qui petit à petit se répètent, se dessinent, se précisent : la colline, le papillon de nuit, un camion vert, des voitures blanches avec des drapeaux bleus.
"Nuit, un mur, deux hommes" : Dialogue mettant en scène la situation d'impasse, les attentes, les bouées de sauvetage crevées auxquelles s'accrochent déspérément deux sans-logis. Un fil directeur : la santé de Franck qu'on ne voit jamais mais qui guide le dialogue et unit les deux hommes.
"Brève obscurité" : Helen, dans sa chambre, soliloque. Elle évoque, par touches, la solitude, la monotonie, les instants de sa vie banale : la bibliothèque, l’homme à qui elle a donné une pièce, les moineaux sur la fenêtre, les jardins où elle se promène, les anguilles au bord de l’eau…
"Ce qui demeure" : Un homme assis à une table, devant un microphone, lit des extraits d’une liste : petites choses, instants ineffables, la maison, la femme, le fils, moments de rien où la vie s’émerveille d’un rien... Malgré tout, il semble peser sur cet instant une sourde inquiétude.
"Le premier train" : Un homme, cordonnier pour enfants, relate par touches les souvenirs et perceptions d’un garçon de trois ans : les trains qui passent au loin, la voix de sa mère, le plaisir de jouer… Et puis un jour, la folle course dans la ville, serré contre sa mère qui court, le voisin qui appelle, une caisse en bois sur le trottoir, le plastique noir et la planche que sa mère a déposés sur lui pour le cacher et enfin le sifflet du train qui s’éloigne.
"Fleuve" : Au bord d’un fleuve, dialogue entre un homme et son fils juste avant que celui-ci ne rejoigne le domicile maternel. Au fil des paroles et tandis qu’ils errent du fleuve à une rue, d’une rue à un bar, du bar à une pension de famille, le père raconte le chômage, le lent abandon jusqu’à la perte de soi. Ici l’écriture silencieuse, la nudité du dialogue et la façon de planter les personnages dans des lieux anonymes, sans repères renforcent la fragilité de ceux-ci.
Avis aux intéressés : Toute la détresse d'un homme qui va mourir et qui ne sait ni où, ni comment, ni à qui laisser son grand enfant de 40 ans, débile mental, qui ne sait dire que "papa". Il écrit une lettre qu'il épingle, avec ses économies, au manteau de son fils. Il tente de le laisser, de le quitter pour se rendre à l'hôpital, soigner son cancer et mourir. Tous deux marchent, le père parle, le fils acquiesce : "P'pa".Distribution : La terre...4H1F (6P) 1 fille; Nuit...2H (2P); Garçon...1H (1P); Entre...1H1F (3P), 1 fille; Brève...1F (1P); Vespérale:2F (2P); Avis...2H (2P); Marie...2F (2P); Le premier...1H (1P); Ce qui...:1H (1P); Fleuve:2H (2P); Cat:1H (1P);Croquemitaine:1H1F (2P) Réservation
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Code-barres Cote Support Section Localisation Disponibilité 03164 KEE DA P2 livre Textes Théâtrothèque Disponible Pour rire pour passer le temps ; Petites pauses poétiques / Sylvain Levey
PermalinkQue d'espoir ! / Hanokh Levin
PermalinkLa sortie au théâtre et autres textes / Karl Valentin
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